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Week ending January 13, 2007

Informa/NVOD lingers as VOD lounges – January 12, 2007

from Adam Thomas/Informa

New research from Informa Telecoms & Media shows that in 2011, 435 million homes will take VOD or NVOD services, equivalent to 38% of the world’s TV households. These homes will generate revenues of US$11.4 billion.

The fifth edition of Informa’s On-Demand TV report forecasts that Asia Pacific will account for 45% of on-demand subscribers by 2011, although significantly lower price-points mean the region generates only 12% of global revenues. North America, meanwhile, will take 46% of revenues, from only 27% of subscribers.

The research has found that established methods of delivery – pay-per-view for sports and near-video-on-demand (NVOD) for staggered movie screenings via digital cable and DTH – will continue to dominate the on-demand sector for the next few years. Thereafter, true VOD, whereby subscribers can purchase programmes when they want, will come more to the fore.

Adam Thomas, author of the report, said: “Until recently the expectation was that technically superior VOD would quickly replace NVOD. But that hasn’t happened.” He added: “Much of the VOD content available is free of charge and being used as a churn-reduction device. This strategy won’t last forever, but in the meantime the established NVOD business is being retained and developed while operators gradually ratchet-up the levels of paid-for VOD content. Added to this is the rise of the DVR, which dovetails nicely with a NVOD service, meaning they aren’t going anywhere for some time to come.”

In Europe, the UK is comfortably the on-demand leader, generating US$480 million in 2006, almost double the second ranked country (France with US$241 million). Many operators have made progress in upgrading their networks and consumers continue to embrace digital TV as well as high-speed internet. Moreover, telcos have continued to embrace the entertainment sector via DSL and FTTH.

Médiamétrie UNE NOUVELLE SYNTHESE MEDIAS360 – January 10, 2007

from Sophie Rodriguez/Médiamétrie

Les Chiffres clés de la Convergence et des nouvelles pratiques médias

Le développement des technologies numériques et des offres qui leur sont associées transforme peu à peu les modes d’accès aux différents contenus des médias. Désormais, téléspectateurs et auditeurs peuvent regarder et écouter leurs émissions préférées depuis Internet, les baladeurs deviennent multimédias, et la téléphonie décline de nombreuses fonctionnalités telles que la visiophonie, l’accès à l’Internet mobile, etc. Quelles sont ces nouvelles pratiques médias et multimédias liées au développement des technologies et des contenus numériques ? Qui en sont les adeptes ?

Médiamétrie fait un point détaillé sur ces nouveaux comportements à travers un dossier de synthèse, Les Chiffres clés de la Convergence, réalisé à partir des études de référence de Médiamétrie.

Internet et les autres pratiques multimédias en progression constante internet, musique, jeux vidéo, téléphone, programmes vidéo préenregistrés : en 2006, plus de 7 Français sur 10 (72%) de 13 ans et plus pratiquent au moins une de ces activités sur un jour moyen de semaine, contre 70,9% en 2005. La part consacrée à Internet et au multimédia augmente aussi et représente 28% de l’ensemble des contacts médias et multimédias (+ 3 points en un an) (1). Chez les 18-24 ans, ces pratiques atteignent même 43% des contacts médias et multimédias (+ 2 points par rapport à 2005).

La consommation d’Internet et les autres pratiques multimédias augmentent tout au long d’une journée moyenne de semaine, atteignant leurs niveaux les plus hauts entre 15h et 18h(1). Le week-end, elles sont même au coude à coude avec les médias classiques entre 15h et 17h (2).

L’équipement numérique se développe toujours davantage

Réseau de convergence par excellence, puisqu’il permet le transport de toute donnée numérique, Internet est aujourd’hui accessible dans 43% des foyers, en haut débit dans 4 cas sur 5. Dans le panorama de la téléphonie et de l’audiovisuel, la Box – modem haut-débit qui permet notamment le « Triple Play » et parfois le « Quadruple Play »- équipe presque la moitié des foyers internautes (3).

Les pratiques médias et multimédias en mobilité se développent également : plus d’unutilisateur principal de téléphone(s) portable(s) sur deux a accès à l’Internet mobile, et plus d’1 sur 10 aux fonctions 3G (4). Le baladeur MP3 quant à lui connaît une véritable explosion : il est présent dans plus d’1 foyer sur 4, et en particulier dans 1 foyer sur 2 comprenant un jeune de moins de 15 ans (3).

Les pratiques évoluent et les frontières entre les médias se resserrent

Le contenu TV sort de son cadre classique de réception hertzienne. Si 5,7% des foyers ont la possibilité de regarder la télévision via l’ADSL (3), 12,5% de la population a déjà regardé des émissions TV sur Internet en streaming et 4% par podcast. Le téléchargement de films en a, quant à lui, touché 4,3% (5).

Près de 19% des 11 ans et plus ont déjà écouté la radio sur Internet, soit 14 millions de personnes. Ce taux dépasse les 31% chez les 18-24 ans. Mais la pratique régulière concerne pour l’instant moins d’individus : 4% pratiquent au moins 1 fois par semaine l’écoute de la radio en direct (streaming) sur Internet, et 0,4% le podcast (5).

Des modes de communication de plus en plus interactifs

nternet propose toujours plus de logiciels ou de sites permettant l’échange de données (voix, musique, images, vidéos…) entre les utilisateurs. Le courriel reste le mode de communication le plus utilisé par les 11 ans et plus (presque 1 sur 2 dans les 12 derniers mois). Il est suivi par la messagerie instantanée, très prisée par les jeunes (16-24 ans), et par le chat, la visiophonie, la téléphonie sur Internet et l’écriture sur des blogs (5).

Si près de 80% des foyers sont équipés en téléphone portable, seulement 1 utilisateur principal de téléphone(s) portable(s) sur 10 (9,8%) a utilisé l’Internet mobile dans le dernier mois, et moins de 2% la visiophonie (4).

Faire son marché et jouer en ligne : les autres applications d’Internet

Les achats en ligne se développent et près de 30% des Français font aujourd’hui confiance àce mode de transaction. Plus d’1 Français sur 3 (32,3%) a déjà réalisé un achat de produit ou déjà utilisé un service en ligne sur Internet (5).

Les jeux vidéo deviennent de plus en plus interactifs et collectifs : 13% des internautes de 11 ans et plus ont joué en réseau dans le dernier mois, et ce taux atteint presque 30% pour les 11-15 ans. Les jeux de hasard sur Internet ont été pratiqués par presque 7% des internautes de 11 ans et plus sur cette même période (5).

(1) : Médiamétrie - TDM – Media In Life / Janvier-Février 2006 / 00h-24h Lundi-Vendredi

(2) : Médiamétrie - TDM – Media In Life / Janvier-Février 2006 / 00h-24h Lundi-Dimanche

(3) : Médiamétrie / GfK - Référence des Equipements Multimédias / Juillet-Septembre 2006

(4) : Médiamétrie - Téléphonie et Services mobiles / Juillet-Septembre 2006

(5) : Médiamétrie - Observatoire des Usages Internet / Juillet-Septembre 2006

(6) : Médiamétrie - L’Equipement Radio 2006

GSDZ - Eine Reform, die Geld bringt, statt zu kosten: die Neugestaltung des terrestrischen Sendernetzbetriebes - January 10, 2007

from Uta Spies/ALM

Der Betrieb der terrestrischen Sendernetze hat maßgeblichen Einfluss auf die Entwicklung der Digitalisierung. Eine selbstständige Organisation und die Öffnung für neue Gesellschafter würden den Anreiz für eine effektivere Nutzung des Frequenzspektrums schaffen: Das sind Kernaussagen des Digitalisierungsberichts 2006 der Landesmedienanstalten, den die Gemeinsame Stelle Digitaler Zugang herausgegeben hat.

Die Entwicklung in Deutschland leidet darunter, dass die Betreiber der Sendernetze, seit der Mitte des letzten Jahrhunderts die ARD und die Telekom in Nachfolge der Post, weniger Anreize haben als die Unternehmen in anderen Ländern, die Digitalisierung voranzubringen. „Nicht nur bei Strom, Gas und der Bahn ist es sinnvoll, über die Trennung von Netz und Nutzung nachzudenken“, sagte der Vorsitzende der Gemeinsame Stelle Digitaler Zugang, Dr. Hans Hege.

Während der neue Intendant des Österreichischen Rundfunks angekündigt hat, die verselbstständigte Techniktochter des ORF über die bisherigen Dienstleistungen für RTL und Arena in Deutschland hinaus international zu positionieren, sind die ARD-Sendernetze noch regional aufgestellt, nicht juristisch separiert und haben keine transparente Buchführung. Sie erfüllen damit nicht die Voraussetzungen, mit denen heute schon Produktionstöchter der ARD wie Bavaria und Studio Hamburg auch für Dritte tätig sind.

Während der von der finnischen Rundfunkanstalt inzwischen getrennte Sendernetzbetreiber Digita unternehmerisch die Digitalisierung für Rundfunk- und Mobilfunkunternehmen vorantreibt und Rundfunkfrequenzen für die Versorgung ländlicher Räume mit Breitband Internet nutzt, stehen in Deutschland die traditionellen Aufgaben im Vordergrund.

Die BBC hat bereits vor Jahren ihr Sendernetz ausgegliedert und damit nicht nur Investitionsanreize geschaffen sondern auch den Gebührenzahler entlastet. Die vertikale Integration, die Verbindung von Veranstaltung und Sendernetzbetrieb, führt insbesondere beim Radio dazu, dass Wettbewerb eher verhindert und verfügbare Frequenzen nicht genutzt werden. Musterbeispiel dafür ist Nordrhein- Westfalen, wo sich ohne Beeinträchtigung der Versorgung des WDR neue Möglichkeiten für zusätzliche Radioveranstalter erschließen ließen, wenn ein unabhängiger Sendernetzbetreiber das Ziel hätte, das Frequenzspektrum optimal zu nutzen.

Vergleichbare Schwächen zeigt im übrigen auch der Sendernetzbetrieb der Deutschen Telekom. Dass er sich bei der Entwicklung des mobilen Fernsehens den strategischen Interessen des Mobilfunkteils unterordnen musste und keine Bereitschaft zu Investitionsrisiken zeigt, schwächt die Stellung des Rundfunks.

Den im VISTAS Verlag erschienenen Digitalisierungsbericht 2006 können Sie auch in der kompletten deutschen Fassung oder als englische Fassung unter www.digitaler-zugang.de (Positionen) downloaden.

Arbitron Announces PPM Ratings Report Schedule for Philadelphia – January 9, 2007

from Jessica Benbow/Arbitron

All Ratings for Philadelphia Produced with Paper-and-Pencil Diaries—Including Arbitrends—End With Release of Fall 2006 Survey on January 11;

Electronic Measurement of Philadelphia Radio Market Begins on January 11

Arbitron Inc. (NYSE: ARB) will release on Thursday, January 11, the very last radio ratings for Philadelphia that it plans to produce by paper-and-pencil diaries: the Fall 2006 Philadelphia Local Market Report. The company also announced the delivery schedule for the new electronic Portable People MeterTM (PPMTM) ratings service that will begin for the radio market on January 11.

The Fall 2006 diary-based ratings report is being designated the “currency” in the market until the release of the March 2007 PPM ratings report. The January 2007 and February 2007 PPM radio ratings reports are to be released as demonstration data.

“We have truly ended an era with the delivery of the Radio Market Report for the Fall Survey. These are the very last ‘currency’ radio ratings for Philadelphia that we intend to tabulate using entries written in diaries,” said Jay Guyther, senior vice president, Rating Services, Arbitron Inc. “The arrival of the PPM service also means the end of Arbitrends for Philadelphia. Instead of Winter Phase 1 and 2 Arbitrends reports, subscribing stations will receive monthly PPM-based audience estimates using the installed PPM sample, which is planned to be 2,040 persons, age 6 and older.”

Philadelphia stations and agencies, however, will only have to wait a few short weeks. The first PPM monthly audience estimates are scheduled to release on February 28 for the monthly survey of January 11 to February 7.

PPM subscribers should receive the electronic ratings 21 days after the end of each monthly survey, including a “Holiday Survey” for listening between December 13, 2007 and January 9, 2008.

In addition, subscribing radio broadcasters should begin receiving weekly PPM data beginning March 28th, covering the first four weeks of the February survey. Weekly downloads will begin April 2nd, beginning with the period of 3/8 - 3/14.

“Our PPM panel design supports weekly reporting with the same large sample sizes as the monthly reports, so the PPM Weeklies will be 52 discrete reports—not rolling averages—with the same demos and dayparts as delivered in our current Arbitrends service,” added Guyther.

The monthly PPM ratings for Philadelphia will be available in three different formats:

• PPM e-book--the Radio Market Report delivered electronically

(first delivered February 28 for the monthly survey of January 11 to February 7)

• summary-level data, including ethnic reports--released to licensed third-party software providers that have prepared their applications for the PPM data

(first delivered February 28 for the monthly survey of January 11 to February 7);

• respondent-level data--for use in the PPM Analysis Tool software

(first delivered March 28 for the monthly survey of February 8 to March 7 and will include the January survey as back data.)

To date, more than a dozen third-party processors—including Strata, Donovan, Harris, MRP and Tapscan—are licensed to receive and use PPM Summary Data.

In response to recent recommendations made by the Arbitron Radio Advisory Council and the Advertiser/Agency Advisory Council, the PPM rollout schedule in Philadelphia and in subsequent markets is designed to:

· Allow subscribing stations and agencies to get the full value of their final diary-based ratings report;

· Ensure that there is only one “currency” for the buying and selling of radio advertising by eliminating any overlap in the use of PPM-based and diary-based ratings;

· Provide two individual months of PPM-based ratings before eliminating diary measurement to allow users to understand the differences between the two methods in each market; and

· Give radio stations and agencies more time to train their sales and buying staffs on how to do business in an electronically measured marketplace.

Nobel Biocare – Official partner of European Song Contest 2007 – January 8, 2007

from Bjørn Erichsen/Eurovision

The European Broadcasting Union (EBU) today announced Nobel Biocare as official partner of the 2007 Eurovision Song Contest to be held in Helsinki. The two shows, the Semi-Final on 10 May and the Final on 12 May 2007 will be televised live by the Finnish national broadcaster, YLE.

Nobel Biocare, the world leader in aesthetic dental solutions, has been a partner of the Eurovision Song Contest since 2005 and has been granted extensive association, event, media and new media rights for the events in Helsinki in 2007.

The agreement, which is part of an international commercial and marketing platform developed by the EBU for the Eurovision Song Contest, was negotiated by T.E.A.M. (Television Event and Media Marketing AG) based in Lucerne, Switzerland. T.E.A.M. has been the worldwide exclusive marketing agency for the commercial rights of the Eurovision Song Contest since 2004.

“The European Broadcasting Union is pleased to welcome Nobel Biocare once again as a partner of the Eurovision Song Contest. Long-term partnerships such as this are essential for the continuous development and success of the show,” commented Bjørn Erichsen, the director of Eurovision TV.

"Today, everyone wants to be their best and look their best. Our partnership with the EBU for the Eurovision Song Contest lets us introduce the Nobel Biocare brand to a European-wide television audience along with our wonderful esthetic solutions to reach this goal," said Heliane Canepa, President and CEO of Nobel Biocare.

The Eurovision Song Contest has a rich tradition and heritage dating back to 1956. It is one of the few truly pan-European television programmes; it is transmitted live via the Eurovision satellite network, in prime time on free-to-air television, and is watched by some 100 million viewers throughout Europe and beyond.